Au nom des jeunes de l’UDI de Maine-et-Loire, Michel Bodet, Florian Santhino et Alexandra Felliâtre, estiment que « une union pour Angers est plus qu’un choix, mais une nécessité ».
Dans un communiqué, les trois jeunes affirment que « le contexte actuel, propice à l’explosion des extrêmes est une grande crainte pour notre territoire historiquement modéré et passionnément centriste. Il en va de notre responsabilité individuelle et collective d’oeuvrer à un rassemblement avec nos partenaires naturels « pour ne pas ajouter de la confusion à la confusion » selon la formule de Jean-Louis Borloo ».
« Angers et ses habitants n’échappent pas à la dure réalité économique et sociale de notre pays. Nos entreprises subissent toujours de graves difficultés pour maintenir leurs activités, les dépôts de bilan se multiplient, le chômage et les précarités augmentent dangereusement. Il n’est pas peu dire que les Angevines et Angevins attendent beaucoup des prochaines échéances politiques et plus particulièrement des élections municipales auxquelles ils sont très attachés ».
« Les Jeunes UDI d’Angers, conscients de ce constat, souhaitent unanimement être force d’ouverture, d’action et de proposition au-delà des ambitions personnelles qui mettent en péril le rassemblement de la famille réformiste, du Centre (UDI-Modem) à la Droite républicaine et humaniste. Ce rassemblement, autour de projets et de valeurs, s’impose comme une nécessité pour permettre l’alternance de notre ville. Les jeunes UDI ne cachent pas leur volonté d’être des acteurs du renouvellement au service des Angevins avec leur projet « Angers, des idées jeunes » . Cela explique pourquoi une écrasante majorité des jeunes engagés au sein de la section UDI d’Angers refuseront de participer à une liste isolée et construite pour des motifs personnels. Les intérêts collectifs devant, bien entendu, primer sur les ambitions et les enjeux personnels ! Nous n’oublions cependant pas que les décisions les plus courageuses sont bien souvent les plus difficiles à prendre ».