Le collectif Parade Sauvage présente la deuxième édition du Festival Sauvage, un événement mêlant art et artisanat, qui se déroulera le samedi 17 juin de 11 h à minuit à Beaucouzé.
Pour célébrer l’approche de l’été, le collectif Parade Sauvage, rassemblant artistes et artisans, annonce le retour du Festival Sauvage, un événement riche en activités artistiques, le samedi 17 juin prochain.
Dès son ouverture à 11 h, les festivaliers auront rendez-vous au « marché poétique » où ils pourront admirer les créations des artistes Nina Faustine, Stéphanie Bouvier, Anaëlle Blayo, La rosée sauvage, Brume et brindilles, Tartoche du 49 et Bloom Studio.
Tout au long de la journée, des animations, des ateliers et une kermesse seront proposés pour petits et grands, avec à disposition des jeux de palets, molky, fléchettes, chamboule-tout et pêche à la ligne.
Un « Tattoo Flash » en présence de Welle frangette aura lieu de 11 h à 17 h, ainsi que des sessions de « Broderie Flash » organisées par Anaëlle Blayo de 11 h à 12 h 30 puis de 16 h à 17 h 30, qui permettront aux participants de personnaliser des vêtements ou des accessoires textiles selon leur choix. Des séances de cartomancie dirigées par Good News From The Moon seront également accessibles sur réservation (par mail: tirages44@gmail.com) de 14 h à 17 h.
Les participants auront l’occasion de s’initier au « Cyanotype » avec La rosée sauvage, une technique photographique ancienne permettant d’obtenir des tirages monochromes de couleur bleu cyan. Charline Verger animera un atelier de fabrication de bombes à graines visant à favoriser la biodiversité en milieu urbain. Nina Faustine proposera un atelier « Azulejos » où les participants pourront découvrir « l’art du faux » et créer leur propre ensemble d’azuléjos.
Pour clôturer l’événement, un djset de Nadifiesta sera accompagné d’un banquet proposant buvette et restauration.
Le Festival Sauvage se tiendra au 5 rue du Prieuré à Beaucouzé. Le prix d’entrée sera libre (à partir de 2€), afin de soutenir le projet associatif de Parade Sauvage.
Par Eline Vion.