Depuis plusieurs mois, des enquêtes de gendarmerie se succèdent dans différents départements français à la suite d’actes de mutilation inexpliqués sur des chevaux. « Ce phénomène inquiétant arrive dans la région des Pays de la Loire et en quelques jours, ce sont près de 4 chevaux qui ont subi ces actes barbares dans le Maine-et-Loire », indiquent la FDSEA et JA de Maine-et-Loire dans un communiqué.
Les deux syndicats « s’insurgent contre ces actes odieux et souhaitent marquer tout leur soutien à la filière équine, ainsi qu’aux nombreux propriétaires et éleveurs de chevaux angevins.
Le monde agricole, premier défenseur du bien-être de ses animaux, est abasourdi par ces gestes ignobles »
La FDSEA et les JA de Maine-et-Loire disent envisager de déposer plainte et se constituer partie civile.
« A l’instar des récentes intrusions et tags dans des exploitations angevines, il est demandé aux services de l’Etat de faire toute la lumière sur ces actes et de mettre les moyens appropriés pour retrouver en urgence les coupables. C’est le sens des derniers échanges de la FDSEA et JA avec les services de gendarmerie et préfecture ».