Espace Anjou organise un festival de la culture urbaine du 10 au 20 juillet
Culture

Espace Anjou organise un festival de la culture urbaine du 10 au 20 juillet

Du 10 au 20 juillet, le centre commercial Espace Anjou organise la première édition d’Urban Fest, un festival dédié à la culture urbaine.

Le centre commercial Espace Anjou organise un festival de la culture urbaine – © Angers.Villactu.fr

Espace Anjou organise du 10 au 20 juillet la première édition de « Urban Fest », un événement dédié aux passionnés de glisse, de jeux vidéo et de performances artistiques. Organisé en partenariat avec le tissu associatif et artistique local, il proposera de nombreuses animations, initiations et démonstrations.

« C’est un événement gratuit et ouvert à tous qui permettra aux gens de tester de nombreux sports et activités de la culture urbaine », explique Alban Bellouard, qui dirige la galerie Espace Anjou.

Un festival avec des acteurs locaux

Chaque jour, des animations seront proposées par des acteurs locaux. Les amateurs de sports de glisse pourront s’initier sur divers modules, encadrés par des professionnels d’associations angevines telle que l’école de skate Quality Street. Les passionnés de jeux vidéo participeront à un tournoi gaming organisé par la société 2lives. Côté artistique, l’illustratrice Annelyse Bournand a conçu l’affiche du festival, tandis que le graffeur Joe Popi animera des ateliers de graffiti participatifs. La danse hip-Hop sera également à l’honneur avec des performances de l’école Angieus School.

Du 10 au 13 juillet, la glisse sera à l’honneur avec des démonstrations de skate, BMX et trottinette. Du 15 au 17 juillet, le gaming prendra le relais avec des sessions sur consoles et des tournois de jeux vidéo. Enfin, du 18 au 20 juillet, les disciplines sportives et artistiques seront mises en avant avec des initiations et des shows professionnels de foot freestyle, de danse hip-hop et des ateliers de graffiti.

« La culture urbaine n’est pas très souvent mise en avant. Nous voulions donner la parole aux acteurs locaux qui font vivre ces univers », poursuit Alban Bellouard.