Ce lundi 24 février se tenait en préfecture de Maine-et-Loire la deuxième réunion du Comité de pilotage des Ardoisières durant laquelle les conclusions de cette étude ont été présentées.
Sur la base de documents fournis par la société des Ardoisières, sans investigations menées en propre par le BRGM, mais complétés par des informations transmises par quelques experts et les syndicats ardoisiers, l’étude conclut que la poursuite de l’exploitation ne serait pas économiquement viable dans les conditions actuelles du marché, sur le seul périmètre des ardoisières d’Angers, faute de réserves suffisantes prouvées.
Il apparaît par ailleurs que les données récoltées ne permettent pas de mesurer l’exact potentiel de certaines zones (le quartier Aval Daguenière et hors zone, le site de Grand-Maison).
Les conclusions de l’étude du BRGM ne laissent que peu de place à l’hypothèse d’une reprise d’activité.